Histoire de TSHU #4: Charles

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Quelqu’un de vrai – Someone TSHU.

Charles est un grand gaillard, un constructeur, proprio de bar, costaud et d’une belle folie.

Un peu comme vous, un peu comme TSHU. De hoodie et de kaki vêtu, Charles en impose. Et pourtant, il est d’un regard et d’un naturel doux. Presque autant que son TSHU Léonard, son mouchoir à têtes de mort dont est sertie l’étoffe. Rose and tough.

« J’aime la dichotomie entre le rose et la tête de mort, le côté badboy soft. » Voilà. C’est dit.

I told you. Charles en impose. Vrai. True. TSHU story.

La nuit, lorsque la musique d’ambiance propose, anime et suggère, Charles accueille ses clients : relax, bienveillant, vigilant. Le mouchoir en tissu lui va comme un gant. Pour le bar, pour construire, s’essuyer les mains lorsqu’il bosse et… transpire. L’été quand il fait chaud, Charles dégaine ses mouchoirs Dwight ou Léo.

Pour le style, c’est Léonard lorsqu’il porte la chemise. Arborant le t-shirt, c’est son mouchoir Dwight qui dépasse de la poche de son jean.

Selon l’usage ou le goût. Backpocket style. Pragmatique, nordique.

Après tout, Charles a grandi à Montréal avec un père qui portait le mouchoir en tissu. Et qui s’en sert aussi pour des raisons plus pratiques, hygiéniques. « Ça me faisait rire, j’trouvais ça comique. Maintenant c’est lui qui se fout de ma gueule! » Car Charles utilise maintenant ses TSHU, pour le style ou pour… atchou! Et suscite des réactions en public. Des compliments. Qu’il retourne prestement.

Charles a beau en imposer, c’est un gentleman worker dans le style et les faits. Un être humain. Someone true. Comme vous.

Quelqu’un de vrai qui porte le TSHU.

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